Réussir à garder un patrimoine croissant sur plusieurs générations : beaucoup en rêvent, le domaine Baud l’a fait.
L’histoire d’un domaine de plusieurs générations
Tout commence un jour de 1742 avec l’arrivée de Jean François BAUD qui s’installe comme vigneron tâcheron au vernois. L’aventure continue jusqu’à la 7e génération avec René Baud qui exploite 4 hectares de vignes. Quant à la 8e génération (avec Michel et Alain Baud Père & Fils), elle passe de 4 à 20 hectares. Quel travail acharné ! on ne peut pas en dire moins. L’histoire ne s’arrête pas là, aujourd’hui la 9e génération rajoute sa pierre à l’édifice. Bastien et Clémentine à seulement 22 et 24 ans (ne dit-on pas que la valeur n’attend point le nombre des années ?) ont ajouté 2 hectares supplémentaires au patrimoine depuis leur arrivée en 2015. Pour l’instant aucune ombre ne plane sur la pérennité du domaine Baud.
Un Vignoble qui allie pratique ancestrale et bonnes mœurs ? Bien sûr que ça existe !
Le domaine Baud, sur ses 22 hectares de vignes continue de garder son tour de main transmis de génération en génération. Conscient de la chance de cultiver ce terroir et soucieux d’en faire profiter les générations futures, les vignerons se tournent vers une production raisonnée, tout en gardant la qualité des produits. Cela leur a valu d’être labellisé Terra Vitis en 2014. On comprend mieux pourquoi selon eux “être vignerons, c’est plus qu’un métier, c’est une passion”.
Vous les curieux, venez c’est par ici…
Pour l’explorateur en chacun de nous, le domaine propose de découvrir les étapes du métier de vigneron : le chais de vinification pendant les vendanges, les anciennes caves de vieillissement, la mise en bouteille, l’étiquetage et la commercialisation. Pour ceux attirés par la découverte de vins d’exception, le domaine Baud a une solution. Il vous accueille dans son caveau de dégustation en pierres voutées, situé au cœur de la maison familiale. Dans ce caveau, jusqu’à 50 personnes peuvent découvrir une large gamme de vins et de crémants du jura. Je ne sais pas pour vous, mais nous on s’y voit bien.